Transat A.T. inc. – Résultats de l’exercice 2010

Hausse substantielle de la marge au quatrième trimestre liée à une excellente performance sur le marché transatlantique

Montréal, le 16 décembre 2010

 

  • Revenus de 778,6 millions de dollars au quatrième trimestre, par rapport à 719,7 millions en 2009, reflétant une hausse de volume sur les liaisons transatlantiques.
  • Marge¹ de 77,9 millions de dollars, par rapport à 35,6 millions au quatrième trimestre de 2009, une augmentation de 119 %.
  • Bénéfice ajusté après impôts³ de 47,7 millions de dollars pour le quatrième trimestre de 2010, par rapport à 17,8 millions en 2009.
  • Revenus de 3,5 milliards de dollars pour l’exercice 2010, semblables à 2009.
  • Bénéfice ajusté après impôts³ de 53,7 millions de dollars pour l’exercice 2010, par rapport à 33,7 millions en 2009, écart attribuable aux résultats de l’été.
  • Bénéfices nets de 52,4 millions de dollars pour le trimestre et de 65,6 millions pour l’exercice, par rapport à des bénéfices nets de 18,1 millions et 61,8 millions respectivement l’an dernier.

Transat A.T. inc., l’une des plus grandes entreprises de tourisme intégrées au monde et le chef de file de l’industrie des voyages vacances au Canada, a enregistré des revenus de 778,6 millions de dollars pour le trimestre terminé le 31 octobre 2010, par rapport à 719,7 millions en 2009, soit une hausse de 58,9 millions de dollars ou 8,2 %. La Société affiche une marge1 de 77,9 millions de dollars, en hausse de 119 % par rapport à 35,6 millions de dollars en 2009, et un bénéfice net de 52,4 millions de dollars (1,37 $ par action sur une base diluée), par rapport à un bénéfice net  de 18,1 millions de dollars (0,52 $ par action sur une base diluée) en 2009. Excluant les éléments hors trésorerie et non liés à l’exploitation, Transat affiche un bénéfice ajusté après impôts3 de 47,7 millions de dollars en 2010 (1,25 $ par action sur une base diluée), par rapport à 17,8 millions de dollars (0,51 $ par action sur une base diluée) en 2009.

Pour l’exercice terminé le 31 octobre 2010, Transat a enregistré des revenus de 3,5 milliards de dollars,  par rapport à 3,5 milliards de dollars en 2009. La Société a réalisé une marge de 127,6 millions de dollars, en hausse de 37 % par rapport à 93,4 millions de dollars en 2009, et un bénéfice net de 65,6 millions de dollars (1,73 $ par action sur une base diluée), par rapport à un bénéfice net  de  61,8 millions de dollars (1,85 $ par action sur une base diluée) en 2009. Excluant les éléments hors trésorerie et non liés à l’exploitation, Transat affiche un bénéfice ajusté après impôts3 de 53,7 millions de dollars pour l’exercice 2010 (1,41 $ par action sur une base diluée), par rapport à un bénéfice ajusté de 33,7 millions de dollars (1,01 $ par action sur une base diluée) en 2009.

« Nous avons connu le meilleur été de notre histoire, nos équipes ayant réussi à générer d’excellents taux de remplissage sur le marché transatlantique, ce qui a permis de combler l’écart que nous avait laissé une saison d’hiver difficile. En conséquence, nous terminons l’année sur une note très satisfaisante, avec une marge en forte augmentation sur l’an passé » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction.

Faits saillants du quatrième trimestre

Les revenus de la Société ont augmenté de 8,2 % ou 58,9 millions de dollars au quatrième trimestre, passant de 719,7 millions de dollars en 2009 à 778,6 millions de dollars en 2010.  La marge s’élève à 77,9 millions de dollars, soit 10,0 % exprimée en proportion des revenus, par rapport à 35,6 millions de dollars ou 4,9 % en 2009. Ces augmentations sont attribuables à la hausse du nombre de voyageurs, aux taux de remplissage plus élevés et à une hausse des prix de vente moyens sur le marché transatlantique. Au départ du Canada vers les destinations soleil, les marges affichent des baisses, les réductions de coûts n’ayant compensé que partiellement les baisses de prix de vente moyens. Les conditions sont demeurées exigeantes sur le marché français du moyen-courrier, d’où une concurrence intense, le tout entraînant un impact défavorable sur la marge de Look Voyages. 
 
Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites à des clients au Canada et à l’étranger, ont augmenté de 59,8 millions de dollars (14,2 %) par rapport au trimestre correspondant de 2009. Cette augmentation découle principalement d’une hausse du nombre de voyageurs de 21 % et d’une hausse des prix de vente moyens sur les liaisons transatlantiques. Les filiales nord-américaines affichent une marge1 de 10,7 %, comparativement à 2,3 % en 2009.  Cette augmentation résulte également d’une hausse des taux de remplissage.

En comparaison de 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites en Europe et au Canada, ont diminué de 0,8 million de dollars, bien qu’ils aient augmenté en devises locales. La faiblesse de la livre sterling et de l’euro ont notamment annulé l’impact favorable d’une hausse du nombre de voyageurs de 4,2 % et d’une augmentation des prix chez Canadian Affair. Les activités européennes ont affiché une marge de 26,4 millions de dollars (8,9 %), comparativement à 26,1 millions de dollars (8,7 %) en 2009. Une baisse de la marge chez Look Voyages a été compensée par la hausse de celle de Canadian Affair.

Faits saillants de l’exercice 2010

Pour l’exercice, la Société affiche des revenus de 3,5 milliards de dollars, en baisse de 46,5 millions de dollars. La marge atteint 127,6 millions de dollars, par rapport à 93,4 millions de dollars en 2009. Sur le marché transatlantique, les augmentations du nombre de voyageurs, des taux de remplissage et des prix de vente moyens ont tous contribué à l’amélioration de la marge. Au départ du Canada vers les destinations soleil, la vive concurrence et le fait que Transat n’a pu profiter pleinement de la vigueur du dollar par rapport au dollar US compte tenu de ses opérations de couverture ont entraîné les marges à la baisse. Les conditions sont demeurées exigeantes sur le marché français du moyen-courrier, d’où une concurrence intense, le tout entraînant un impact défavorable sur la marge de Look Voyages. « Au total, notre performance sur le marché transatlantique aura plus que compensé les impacts de la vive concurrence sur les destinations soleil au départ du Canada et moyen-courriers au départ de la France », a fait observer Denis Pétrin, chef de la direction financière.

En 2010, les revenus ont augmenté de 0,6 % en Amérique du Nord et diminué de 6,3 % en Europe, pour une baisse totale de 1,3 %. Le nombre de voyageurs a augmenté de 6,7 % (6,1 % en Amérique du Nord et 8,6 % en Europe).

Les revenus des filiales nord-américaines, qui proviennent de ventes faites au Canada et à l’étranger, ont diminué de 110,1 millions de dollars (6,7 %) au cours de la saison d’hiver, comparativement à 2009. La diminution des revenus découle d’une baisse des prix de vente moyens combinée à une baisse du nombre de voyageurs de 1,1 %. La marge pour la saison d’hiver s’est établie à 0,6 %, comparativement à 2,4 % en 2009. L’érosion des marges résulte principalement des baisses des prix de vente moyens et de l’offre excédentaire ayant sévi au cours de la saison d’hiver, et du fait que Transat n’a pu profiter pleinement de la vigueur du dollar par rapport au dollar US compte tenu de ses opérations de couverture.

Au cours de la saison estivale, les revenus ont augmenté de 14,0 %. Cette augmentation découle de la hausse du nombre de voyageurs de 17,0 % et de prix de vente moyens supérieurs à ceux de 2009, de même que de taux de remplissage supérieurs. La marge s’est élevée à 7,6 %, contre 3,3 % en 2009.

Comparativement à 2009, les revenus des filiales européennes, qui proviennent de ventes faites à des clients en Europe et au Canada, ont diminué de 43,3 millions de dollars (12,3 %) au cours de l’hiver, et ce, malgré une hausse du nombre de voyageurs de 18,7 %. La faiblesse de l’euro et de la livre sterling par rapport au dollar canadien, combinée à une baisse des prix de vente, ont annulé l’effet sur les revenus de la hausse du nombre de voyageurs. L’effet de l’augmentation des ventes de Canadian Affair, lesquelles sont faites au Royaume-Uni et au Canada, a été annulé en partie par une diminution des ventes en France. Nos activités européennes ont affiché une perte d’exploitation de 13,4 millions de dollars (4,3 %) pour l’hiver, par rapport à une perte d’exploitation de 9,5 millions de dollars (2,7 %) en 2009. La baisse des marges résulte en partie de la détérioration de la valeur de l’euro vis-à-vis d’autres devises, de prix de vente à la baisse, ainsi que des coûts supplémentaires encourus par nos sociétés européennes à la suite de l’activité volcanique en Islande.

Pour la saison estivale, les revenus ont diminué de 18,8 millions de dollars (2,9 %) malgré une hausse du nombre de voyageurs de 4,6 %. Cette diminution découle principalement de l’effet de la conversion en dollars canadiens des revenus de nos filiales européennes. Celles-ci ont affiché une marge de 53,8 millions de dollars (8,7 %) au cours de la saison estivale comparativement à 33,3 millions de dollars (5,2 %) en 2009. Cette amélioration est principalement attribuable aux activités de Canadian Affair, qui a enregistré à la fois une augmentation de son nombre de voyageurs et de ses prix de vente moyens, alors que la marge de Look Voyages a souffert.

Situation financière

L’encaisse libre s’établissait à 180,6 millions de dollars au 31 octobre 2010, le même montant que l’année précédente. La dette au bilan a diminué de 81,8 millions de dollars pendant l’année, pour se fixer à 29,1 millions de dollars. L’encaisse nette4 s’est améliorée de 81,9 millions de dollars, passant de 69,7 millions de dollars en octobre 2009 à 151,6 millions de dollars à la fin de l’année 2010. L’amélioration est principalement attribuable au bénéfice d’exploitation.

Les ententes hors bilan représentaient 396,4 millions de dollars au 31 octobre 2009 et 643,8 millions de dollars au 31 octobre 2010, la hausse s’expliquant par la signature de nouveaux baux pour des Airbus A330 additionnels pour la flotte d’Air Transat.

Perspectives – Hiver 2011

Le marché des destinations soleil au départ du Canada représente une portion très importante de l’activité de Transat durant la saison d’hiver. À cet égard, le fait qu’à cette date-ci une portion substantielle de la capacité reste à vendre, la tendance en faveur des réservations de dernière minute et la volatilité des marges rendent difficiles les pronostics. Sur ce marché, la capacité déployée par la Société est supérieure d’environ 13 % à celle finalement mise en place l’hiver précédent ; les réservations et les taux de remplissage sont actuellement supérieurs à ceux enregistrés l’hiver dernier à pareille date ; les prix sont pour leur part à des niveaux similaires.

En France, la capacité et les réservations moyen-courriers et long-courriers sont substantiellement supérieures à celles de l’année précédente.

Sur le marché transatlantique, la capacité et les réservations sont supérieures à l’an dernier.

La Société devrait bénéficier en 2011 de coûts d’intrants inférieurs par rapport à 2010, alors qu’elle n’a pu profiter pleinement de la vigueur du dollar canadien par rapport au dollar US compte tenu de ses opérations de couverture.

Informations supplémentaires

Les résultats des exercices 2009 et 2010 ont subi l’incidence d’éléments hors trésorerie et non liés à l’exploitation telle que résumé dans le tableau suivant :

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Normes sur la comptabilité de couverture – La Société enregistre à l’état des résultats les gains ou les pertes résultant de l’évaluation à la juste valeur des instruments financiers dérivés qu’elle utilise pour gérer le risque lié aux fluctuations du prix du carburant d’avion. En 2010, ceci se traduit par un gain hors trésorerie de 9,3 millions de dollars (6,5 millions après impôt), par rapport à un gain de 68,3 millions de dollars (45,9 millions après impôt) en 2009.

La Société utilise également des instruments de couverture pour se protéger des fluctuations du taux de change sur ses dépenses en dollars américains. À cet égard, sur la base des normes comptables applicables, les fluctuations résultant de l’évaluation à la juste valeur de ces instruments sont comptabilisées au bilan et à l’état du résultat étendu, et non à l’état des résultats. En 2010, Transat enregistre un gain de 22,1 millions de dollars (15,5 millions après impôt) sur ces instruments de couverture de taux de change, par rapport à une perte de 131,9 millions de dollars (89,5 millions après impôt) en 2009.

Papier commercial – Les résultats de l’exercice incluent un gain sur réévaluation de 4,6 millions de dollars (4,6 millions après impôt) sur les investissements de la Société dans le papier commercial adossé à des actifs (PCAA). En 2009 la dévaluation était de 7,0 millions de dollars (7,0 millions après impôt). Au 31 octobre 2010, la provision totale accumulée représentait 38,8 % de la valeur nominale des investissements de 118,1 millions de dollars de la société dans le PCAA.

Charges de restructuration et radiation d’écarts d’acquisition – Le 24 septembre 2009, la Société a annoncé un plan de restructuration de son réseau de distribution en Europe. Ces modifications ont entraîné la fermeture d’un bureau administratif et la fermeture ou la vente de certaines agences. Les charges de restructuration liées à ces changements s’élevait à 3,5 millions de dollars. De plus la Société a comptabilisé une radiation d’écarts d’acquisition de 8,5 millions de dollars reliée à son investissement dans cette filiale. En 2010, la Société a enregistré des gains de 1,2 million de dollars (0,8 million après impôt) sur cession de certains des agences vendues au cours de l’exercice.

Avant ces éléments hors trésorerie et non liés à l’exploitation, Transat enregistre un bénéfice ajusté de  53,7 millions de dollars en 2010 (1,41 $ par action sur une base diluée) par rapport à un bénéfice ajusté de 33,7 millions de dollars en 2009 (1,01 $ par action sur une base diluée).

Transat A.T. inc. est un voyagiste international intégré qui compte plus de 60 pays de destination et qui distribue des produits dans plus de 50 pays. Spécialiste du voyage vacances, Transat est principalement active au Canada et en Europe, de même que dans les Caraïbes, au Mexique et dans le Bassin méditerranéen. Transat, dont le siège social est situé à Montréal, est aussi présente dans le transport aérien, l'hôtellerie, les services à destination et la distribution. (TSX : TRZ.B, TRZ.A)

NOTES

Les éléments suivants sont des mesures financières non conformes aux PCGR, utilisées par la direction comme indicateurs pour évaluer la performance opérationnelle continue et la performance opérationnelle récurrente.

  1. MARGE : Les revenus moins les dépenses d’exploitation.
  2. BÉNÉFICE AJUSTÉ : Bénéfice avant impôts, part des actionnaires sans contrôle dans les résultats de filiales, effet de la comptabilité de couverture sur le carburant, réévaluation des PCAA et charges de restructuration.
  3. BÉNÉFICE AJUSTÉ APRÈS IMPÔTS : Bénéfice net avant l’effet de la comptabilité de couverture sur le carburant, l’effet de la réévaluation des PCAA et charges de restructuration.
  4. ENCAISSE NETTE : Trésorerie et équivalents de trésorerie qui ne sont pas détenus en fiducie moins la dette inscrite au bilan de la société.
Conférence téléphonique

Conférence téléphonique pour le quatrième trimestre de 2010 : le jeudi 16 décembre 2010 à 10 h 00. Composez le 1-866-542-4146 ou le 514-392-9193. Nom de la conférence : Transat. Diffusion Web sur www.transat.com. L’appel sera disponible pour réécoute jusqu’au 16 janvier 2011 au 1-800-408-3053 ou au 514-861-2272, code d’accès 2861123 dièse.

Mesures financières non conformes aux PCGR

Les états financiers sont dressés conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada ("PCGR"). Dans le communiqué de presse, la Société présente parfois des mesures financières non conformes aux PCGR. Ces mesures n’ont pas de sens prescrit par les PCGR, et il est donc peu probable que l’on puisse les comparer avec des mesures du même type présentées par d’autres émetteurs. Elles ont pour objet d’apporter de l’information supplémentaire et ne devraient pas remplacer d’autres mesures du rendement préparées en vertu des PCGR. Tous les montants sont exprimés en dollars canadiens, à moins d'indication contraire.

Avertissement en ce qui concerne les déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient certaines déclarations prospectives à l’égard de la Société à l'effet que les hypothèses utilisées pour évaluer les titres détenus dans des PCAA se matérialiseront, et que les réservations se poursuivront selon les tendances indiquées. En faisant ces déclarations, la Société a supposé que les tendances des réservations, des coûts et des prix du carburant se maintiendront et que les marges (EBITDA) en dollars seront affectées par la concurrence et un ralentissement économique. Si ces hypothèses se révèlent incorrectes, les résultats réels et les faits nouveaux pourront différer considérablement de ceux envisagés dans les déclarations prospectives contenues dans ce communiqué de presse. Les résultats qui y sont présentés peuvent donc différer sensiblement des résultats réels pour diverses raisons comprenant, sans toutefois s’y limiter, les conditions météorologiques extrêmes, les prix du carburant, les conflits armés, les attentats terroristes, les conditions du secteur du marché et de l’économie en général, l’apparition de maladies, l’évolution de la demande compte tenu du caractère saisonnier du secteur, la capacité de réduire les coûts d'exploitation et les effectifs, les relations de travail, les négociations collectives et les conflits de travail, les questions de retraite, les taux de change et d'intérêt, la disponibilité du financement dans le futur, l’évolution de la législation, des développements ou procédures réglementaires défavorables, les litiges en cours et les poursuites intentées par des tiers, ainsi que d’autres risques expliqués en détail de temps à autre dans les documents d’information de la société.

En soi, ces déclarations prospectives comportent des risques et des incertitudes qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent grandement de ceux envisagés dans ces déclarations prospectives. La Société considère que les hypothèses sur lesquelles s’appuient ces déclarations prospectives sont raisonnables, mais le lecteur doit se rappeler que ces hypothèses à l’égard d’événements futurs, dont bon nombre sont indépendants de sa volonté, pourraient se révéler incorrectes, puisqu’elles sont soumises à des risques et à des incertitudes qui touchent ses activités. Pour plus de détails au sujet de ces facteurs et d’autres éléments, voir le rapport de gestion pour l’exercice terminé le 31 octobre 2010 déposés auprès des commissions de valeurs mobilières canadiennes. La Société décline toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser toutes déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, d’événements futurs ou autrement, à l’exception de ce qui est exigé par les lois sur les valeurs mobilières applicables.